
« Dans ce processus, nous considérons la justice linguistique comme une dimension essentielle de nos luttes, qui va bien au-delà de la simple traduction. Défendre le droit de parler, de penser et de s’organiser dans notre langue est fondamental pour garantir une participation réelle, plurielle et transformatrice. Sans cela, aucune construction collective ni transformation n’est possible. » Extrait d’un document de COATI (Collectif pour l’Autogestion des Technologies de l’Interprétation), élaboré dans le cadre du processus préparatoire au 3e Forum Global Nyéléni.